Histoires vécues

Maison du Rabbi de Loubavitch 770

“Tes yeux”

L’histoire suivante est très connue dans le monde et est une parmi les milliers d’histoires incroyables du Rabbi de Loubavitch.

Il y a plus de trente ans, un Rav connu en Israël est allé voir le Rabbi Menahem Mendel Schneerson (Le Rabbi de Loubavitch) aux U.S.A. pour recevoir une bénédiction pour sa fille qui a lentement perdu sa vue.

“Allez vérifier la mézouza de sa porte!” lui dit-il.

Le Rav fut très étonné car il faisait attention à ne prendre que chez des sofrim de renom.

Après vérification, il s’est avéré que le mot “eynékha” (tes yeux) était absent de la mézouza !

Dés qu’il a changé la mézouza, sa fille a lentement récupéréré ses yeux sans aucune intervention médicale.

Rav Kanievsky Sefer Torah

“Et tu mangeras”

En Israël, ces dernières années se trouvait un enfant qui ne s’arrêtait pas de manger malgré les traitements et conseils des médecins.

Les parents ont demandé conseil et bénédiction auprès du Rav Kanievsky shlita. Celui-ci leur a demandé de vérifier la mézouza de sa chambre.

Il s’est avéré qu’il était écrit deux fois le mot “véhakhalta” (et tu mangeras).

Les histoires suivantes sont celles que le Rav Lasry a vécu depuis qu’il est devenu Sofer

14 mai 2001

Mme C… me demande de vérifier la mézouza de la porte de sa mère, c’est urgent !

Je lui rends dans la semaine, la mézouza est mauvaise !

Quelle problème avait-elle ? Me demande-t-elle.

Le “beth” du mot “lévavekha” (de tout ton coeur) est coupé en deux.

“C’est fou ! me dit-elle, elle a eu à deux reprises une crise cardiaque!”

Eté 2004

M. A…. m’a demandé de vérifier sa paire de téfilines car il a eu une attaque cérébrale, que D. nous en préserve à tous, son bras droit était atteint, il ne pouvait plus l’utiliser.

Lors de la vérification, le mot “yadékha” (ta main) était pratiquement effacé !

Il a reçu un nouveau parchemin et lentement il a pu récupérer l’usage de son bras.

Année 2005

Un homme me racontait que dans la même semaine, il s’était cassé le bras en tombant dehors, son fils avait eu la main coincée dans une porte à cause d’un courant d’air, et sa femme s’était cassée le poignet à la maison en tombant.

Intrigué, il a donné en vérification la mézouza de l’entrée de sa maison et effectivement le mot “yadekhem” (vos mains) était coupé en deux.

Hiver 2006

M. E…. est venu me donner les mézouzot de sa maison pour les vérifier.

L’une d’elle était mauvaise (mais pouvait être réparée). C’était la mezouza de la chambre de son fils.

Surpris il me demande quel genre de faute il y avait ?

Je lui réponds : le mot “shamaïm” était coupé en deux. Incroyable ! s’exclama t-il, mon fils s’appelle Shamaï !

Et alors ? lui répondis-je.

Il est avec une non-juive et veut vivre avec elle ! Coîncidence ?!

Nous pouvons attribuer à ces quelques exemples des causes autres que celles de téfilines ou mézouzot “psoulot”, mais nos sages de toutes générations confondues, ont exhorté les juifs à faire très attention d’acheter ces parchemins chez des personnes de confiance ayant la crainte du Ciel. 

Le lien qui existe entre ce qui est écrit dans ces parchemins et notre vie de tous les jours, est beaucoup plus profond que ce que l’on peut imaginer !